Le 28 octobre 2010, une nouvelle fois, des centaines de milliers de manifestants (la CGT dit 2 millions, la police dit 600’000) ont occupé les rues. Ce jour-là des salarié·e·s assez nombreux étaient encore en grève ou s’y sont mi·se·s : dans les raffineries, des secteurs de la chimie, chez les cheminots, dans des hôpitaux et des services publics locaux comme à Marseille, des aéroports et des usines souvent petites.
La loi sur les retraites avait pourtant été, définitivement (...)