Au soir de l’impressionnante journée de mobilisation de mardi 7 septembre, nous sommes sans doute nombreux à poser la même question : et maintenant ? Personne n’est en effet assez naïf pour imaginer que le gouvernement, prenant acte du nombre de manifestants qui ont battu en rangs serrés le pavé de nos villes, va aimablement rendre les armes. Pas même sous la forme apaisée de l’ouverture d’une négociation. Il ne le fera pas pour deux raisons. L’une (...)