Dans le bas de l’escalier de l’immeuble de la rue de la Paix où je viens visiter une des grandes bijouteries de luxe, il y a de poussière partout, d’ailleurs cela me prend à la gorge et me fait tousser. Un homme, jeune, une trentaine d’années ponce d’immenses panneaux de bois, lui-même est couvert de poussière de bois claire, il en a sur les cheveux, jusque sur les sourcils, dans les oreilles. Il décape toute l’entrée, les moulures seront déposées et (...)