« Le Parlement ne se laissera pas toucher par l’éternel sophisme qui, au nom de la liberté, consacre la perpétuité de la misère et destitue de tout droit les travailleurs épuisés par une vie de labeur », s’exclamait Jaurès en 1901. Il était question de bâtir un système de retraites et la droite, parlant au nom du patronat d’alors, exigeait que la charge en incombât « à la société tout entière » et non pas en grande partie aux entreprises. La scène a changé (...)