On ne s’attendait pas à ce que la mort d’un général de l’armée coloniale, qui a organisé une industrie routinière de la torture de masse, provoque une quelconque contrition chez les représentants qualifiés de la droite française.
On est néanmoins choqué par l’exercice de révisionnisme auquel s’est livré Henri Guaino, conseiller spécial de la présidence française et rédacteur de discours présidentiel. Et à ce titre, on présume qu’il sait parfaitement ce (...)