Plébiscité par les sondages, Dominique Strauss-Kahn semble le mieux placé au Parti socialiste pour assurer une quatrième défaite consécutive à la gauche en 2012. Les similitudes avec le scénario de 2006 sont troublantes. Mais cet échec pourrait aussi tenir au personnage.
En 2006, Ségolène Royal était une candidate plausible pour battre le candidat de droite redouté, voire détesté par une partie des Français. Elle semblait promettre le changement au cœur de la fonction monarchique. (...)