« La description de l’avancée du mouvement masculiniste fait peur. On a bien le sentiment d’entrer dans une ère très difficile pour les femmes et pour les filles. [...] Ainsi, parce que l’opinion répandue est que les femmes ont obtenu tout ce qu’elles voulaient et même au-delà, voici que nous amorçons une période de régression. »
Avant de parler du masculinisme, il faudrait commencer par en donner une définition. Je vais l’emprunter à Michèle Le Doeuff, (...)