"L’affect révolutionnaire, c’est l’enthousiasme pour l’événement"
(Titre original de la tribune du 17/03/2010 sur Libération)
Les « lendemains qui chantent » n’ont jamais été qu’une mythologie, plus employée, à vrai dire, par les ennemis de la pensée révolutionnaire ou communiste que par ses amis ou ses militants. Cette mythologie soutenait qu’on allait demander aux ouvriers et gens du peuple des sacrifices innombrables, au nom d’un futur (...)