Lors du vote des 16 et 23 novembre prochains, les militants socialistes ne feront pas qu’un choix interne. Ils prendront une décision lourde de conséquences pour toute la gauche. Car à chacune des trois orientations politiques en présence correspond, de manière plus ou moins assumée, une stratégie d’alliances.
L’alignement sur le blairisme ou la social-démocratie européenne ne crée pas la même capacité à rassembler la gauche que le socialisme républicain clairement ancré (...)