Héritier de la Renaissance, influencé par la pensée magique, le savant britannique, qui s’écarta de la tradition humaniste, a laissé une œuvre souvent simplifiée par la postérité.
Francis Bacon, l’humaniste, le magicien, l’ingénieur
de Mickaël Popelard, PUF, 2010, 230 pages, 24 euros.
Quelle place et quel rôle convient-il d’accorder à l’œuvre de Francis Bacon dans la naissance de la science moderne ? A-t-il véritablement, comme il en avait (...)