... Si toutefois on consent à mettre ce vocabulaire, un peu excessif et somme toute négligé pour un homme qui brandit la dignitas, sur le compte de la colère, il faut admettre que ses propos relèvent du bon sens. Qu’un homme politique veuille être interrogé sur son programme plutôt que sur sa vie privée ou l’élection de Miss France, cela devrait être une évidence.
Je n’en suis pas très fière, mais ça me réjouit toujours qu’un politique se permette d’engueuler (...)