La campagne et l’élection d’Obama ont donné lieu à un déferlement médiatique sans précédent où tout commentateur se devait de dépenser salive et encre pour vendre ou pas une image. J’ai affirmé alors que l’essentiel n’était pas de répondre à cette déferlante sous peine de jouer le jeu de l’adversaire, mais de suivre au concret les actes du nouveau président. Aujourd’hui, il est pris à son propre piège ! Aujourd’hui si j’écris que sa (...)