Le dogmatisme néolibéral de Sarkozy s’applique de façon intransigeante : tout pour les riches, rien pour, les salariés. « No tips » : lisez sur mes lèvres : pas d’impôt » comme le disait défunt Reagan. Alors que le déficit de l’état atteint 116 milliards d’euros, Sarkozy se refuse à aller chercher la moindre recette supplémentaire auprès des possédants qu’ils soient actionnaires, rentiers, financiers et directeurs de sociétés. Il refuse même un modeste (...)