L’affaire Frédéric Mitterrand est l’occasion d’un énorme clivage entre la France d’en bas et celle d’en haut. Même notre camarade Jean-Luc Mélenchon a cru bon d’y participer. C’est à n’y pas croire.
Il eut été mieux inspiré de se taire et de laisser toutes les « belles personnes », comme il aime à dire, s’entredévorer entre elles. Au lieu de quoi, il est tombé à bras raccourcis sur Benoît Hamon, qui a osé dire ce qu’il pensait (...)