Alors que le président légitime du Honduras M. Zelaya est réfugié dans l’ambassade du Brésil à Tegucigalpa depuis le 21 septembre, date de son retour surprise au Honduras, le 24 le gouvernement de la dictature de Micheletti a déclaré que le gouvernement brésilien s’est rendu coupable "d’une intromission dans les affaires internes du Honduras". Le gouvernement putschiste a également déclaré que la présence de Zelaya au Honduras est "un acte provoqué et consenti par le (...)