Les Etats ont investi 2.900 milliards de dollars, soit 5,3 % du PIB mondial, pour soutenir l’activité. Peu d’économistes critiquent cette injection massive d’argent, tant elle était indispensable pour empêcher l’effondrement du système. Au moins ce scénario catastrophe a-t-il été évité et c’est là « la véritable bonne nouvelle », estime Sylvain Broyer.
Mais son résultat est l’envolée de l’endettement public. Si certains pays, comme la Chine, ont de (...)