J’ai lu avec étonnement ce week-end les dépêches de presse concernant la politique intérieure des États-Unis : elles reflètent de toute évidence l’usure systématique de l’influence du président Barack Obama, dont la surprenante victoire électorale n’aurait pas été possible sans la profonde crise politique et économique de son pays : les soldats morts ou blessés en Iraq, le scandale des tortures et des prisons secrètes, les pertes de logements et d’emploi, tout (...)