Depuis plusieurs années, le peuple de gauche attend une alternative à la droite et au libéralisme. D’élection présidentielle perdue en mouvements sociaux terminés en queue de poisson, des crispations sectaires d’une organisation aux trahisons des coquins, une certaine désespérance peut poindre avec la confusion des esprits que cela implique. Des dirigeants socialistes s’occupent d’en rajouter. Quand on juge comme Manuel Valls que le PS doit abandonner sa référence au (...)