par Roberto Hernandez Montoya, président de la Fondation centre d’études latino-américaines Romulo Gallegos (CELARG) au Venezuela.
Vous avez présenté en avril dernier devant l’Organisation des États américains (OEA) un travail portant sur le « totalitarisme médiatique ». Que recouvre ce concept ?
Roberto Hernandez Montoya. Ce concept recouvre un changement de civilisation. Hier, il existait une presse engagée, de droite comme de gauche, ou encore religieuse. Mais elle (...)