Malheureux en affaires, génie en littérature. Tel était Honoré de Balzac qui, à l’instar de son illustre prédécesseur Voltaire, fabricant de montres et éleveur de vers à soie, espérait faire carrière dans le négoce. Las, le démiurge de La Comédie humaine, habitué aux livres de comptes, n’eut guère à se féliciter de ses investissements. Comme l’honnête César Birotteau, il fit faillite pour avoir acheté une imprimerie et, à partir de 1828, n’eut de cesse de fuir ses (...)