Il commence par exprimer sa douleur face à cette agression et témoigne tout son soutien à René Revol. Il dénonce la multiplication des agressions de l’extrême droite à l’encontre de militants et élus insoumis, qui ont été victimes de menaces, d’incendies criminels et d’attaques violentes en raison de leurs opinions politiques.

Jean-Luc Mélenchon souligne que la violence dans la société découle des rapports sociaux et des dominations qui s’exercent, et il insiste sur le fait que toute domination est un rapport social. Il évoque les inégalités sociales, les personnes sans-abri, les enfants affamés, les accidents du travail, et affirme que cette violence est le résultat des rapports sociaux inégaux.

Il appelle à la solidarité et à la lutte contre le racisme. Il rappelle que de nombreux Français ont des ancêtres étrangers et que la diversité fait partie de l’histoire de la France.

Jean-Luc Mélenchon affirme que la violence symbolique, telle que les débats et les polémiques, est nécessaire dans la société pour évacuer la violence physique qui a été présente pendant des millénaires. Il insiste sur l’importance de la politique, de la démocratie et du débat d’idées pour résoudre les conflits.

Enfin, il met en avant l’idée que la République française doit être fondée sur l’égalité, la liberté et la fraternité pour tous, indépendamment de la religion, de la couleur de peau ou du genre, et il critique ceux qui cherchent à diviser la société en répandant la haine. Il appelle à l’unité face à de telles menaces et à la défense des principes républicains.