Grève dans l’Éducation Nationale le lundi 12 novembre 2018

mercredi 14 novembre 2018.
 

Grève dans l’Éducation. Forte mobilisation selon les syndicats, moindre selon le ministère

https://www.ouest-france.fr/educati...

La grève contre les suppressions de postes dans l’Éducation nationale était suivie, ce lundi 12 novembre, par près d’un enseignant sur deux dans le second degré et un sur quatre dans le primaire selon les syndicats. Mais le ministère n’a recensé que 10 % de grévistes, dont certains ont commencé à défiler dans plusieurs villes en France.

Bataille de chiffres. La grève contre les suppressions de postes dans l’Éducation était suivie, ce lundi, par près d’un enseignant sur deux dans le second degré et un sur quatre dans le primaire selon les syndicats, mais le ministère dit ne recenser que 10 % de grévistes. «  25 % des enseignants du premier degré sont en grève pour exiger un autre budget et une autre politique éducative  », a indiqué à la mi-journée le Snuipp-FSU, premier syndicat dans le primaire. Du côté des enseignants du second degré (collège et lycée), «  près d’un sur deux est en grève  », a recensé le Snes-FSU, premier syndicat dans le secondaire, jugeant que «  c’est un mécontentement profond qui s’exprime  ».

Les taux de grévistes communiqués par le ministère de l’Éducation sont bien moindres  : 8,7 % dans le premier degré, 13,8 % dans le second degré, soit une moyenne générale de près de 10 % pour cette première mobilisation d’ampleur contre la politique du ministre Jean-Michel Blanquer. Selon Stéphane Crochet, à la tête du SE-Unsa, c’est néanmoins la première fois depuis 2011 qu’un appel à la grève dans l’éducation rassemble toutes les organisations syndicales, de la maternelle au lycée, dans le public et dans le privé.

«  Le gouvernement fait du marketing  »

En attendant le cortège parisien, qui doit partir à 14 h, des manifestations étaient prévues dans les grandes villes françaises ce matin. À Marseille, quelques centaines d’enseignants et de personnels de l’Éducation nationale se sont réunis à 10 h 00 sur la Canebière pour le départ de la manifestation, derrière une large banderole «  priorité à l’éducation  ». «  Ça fait un an que le gouvernement fait du marketing avec un discours très séduisant pour les familles, mais sa réforme se traduit en fait par des suppressions de postes, alors qu’on est à la veille d’une augmentation du nombre d’élèves. C’est une aberration  », a déclaré Laurent Tramoni, responsable régional du Snes-FSU.

À Lyon, la manifestation partie de 10 h 00 en direction du rectorat, a réuni 2 500 personnes selon les syndicats, 1 800 selon la préfecture. Philippe Savoye, professeur au lycée La Martinière Duchère, redoute la réforme du lycée  : «  Elle aura des conséquences sur les effectifs. À la rentrée j’avais 37 élèves en Terminale, on a réussi à réduire à 35. Et avec cette réforme on va pas aller dans le sens de réductions d’effectifs  ». Josepha Balsalobre, prof d’éco-gestion, s’inquiète, elle, de la diminution du personnel administratif. «  On va surcharger le personnel administratif des établissements, ce qui va induire une dégradation du suivi des élèves  » assuré notamment par les proviseurs adjoints.

À Nantes, environ 850 personnes selon la police, entre 1 200 et 1 500 selon les organisateurs, se sont rassemblées lundi. Axel Benoist, secrétaire national du Snuep-FSU, proteste principalement contre la réforme de l’enseignement professionnel  : «  C’est une réforme purement économique qui vise à supprimer plus de 10 % d’heures de cours pour les élèves, donc des professeurs  ».

Une hausse de 40 000 élèves à chaque rentrée entre 2019 et 2021

Le budget 2019, dont le volet Éducation nationale sera discuté en session plénière mardi à l’Assemblée nationale, prévoit de supprimer 2 650 postes dans les collèges et lycées publics, 550 dans le privé, 400 dans l’administration. Quelque 1 800 postes seront créés au primaire, en vertu de «  la priorité au primaire  » voulue par Jean-Michel Blanquer.

Les syndicats ne comprennent pas ces réductions d’effectifs dans le secondaire, au regard de la poussée démographique attendue en collèges et lycées. L’agence des statistiques du ministère de l’Éducation, la Depp, prévoit en effet une hausse de 40 000 élèves à chaque rentrée entre 2019 et 2021 dans le secondaire. Le nombre des suppressions peut paraître faible par rapport à la totalité des agents de l’Éducation nationale (environ un million), mais les syndicats s’attendent à ce qu’elles soient suivies d’autres réductions d’effectifs. Le président Emmanuel Macron a indiqué vouloir supprimer 50 000 postes dans la fonction publique d’État d’ici 2022.

Le Parti de Gauche en soutien au mouvement dans l’éducation

Le Parti de Gauche apporte son soutien au mouvement intersyndical de mobilisation dans l’éducation nationale prévu lundi 12 novembre 2018. Il appelle à venir renforcer les rassemblements et les cortèges qui se forment partout en France.

La politique mise en place depuis plus d’un an par le ministre Jean-Michel Blanquer constitue une étape supplémentaire dans le démantèlement du service public d’éducation. En fait, quoi de plus logique pour une personne qui a joué un rôle de premier plan dans l’éducation au cours du quinquennat d’airain de Nicolas Sarkozy qui s’était traduit par une saignée sans équivalent de plus de 80 000 suppressions de postes d’enseignants ! Désormais, Jean-Michel Blanquer se complaît décidément dans le rôle de l’élève zélé de la Macronie, au service des intérêts des oligarchies, en France et en Europe.

La promesse d’une « école de la confiance » n’est aujourd’hui plus du tout à l’ordre du jour, reléguée au rang de d’acrobatie de communication mensongère. Les mesures ministérielles suscitent inquiétudes et rejet de la part de l’ensemble de la communauté éducative. Elles provoquent des dégradations supplémentaires des conditions d’apprentissage des élèves et d’exercice pour les enseignants.

Pour le Parti de Gauche il est urgent d’instaurer l’école de la 6° République, celle du peuple fondée sur les principes d’égalité et d’émancipation. Elle se situe aux antipodes des valeurs véhiculées par le Président des riches et des premiers de cordée.

Francis DASPE, co-animateur commission Education du Parti de Gauche

A) Grève le 12 novembre ! Appel FSU, UNSA, SGEN

C’est avec consternation et incompréhension que les organisations syndicales FSU, UNSA-Education, SGEN-CFDT ont découvert les annonces budgétaires pour l’année 2019 enterrant de fait la priorité à l’Éducation nationale.

Avec 2 650 postes d’enseignant-es et 400 de personnels administratifs supprimés, c’est une nouvelle dégradation des conditions d’études des élèves et de travail des personnels qui est programmée.

Cela n’est pas compatible avec l’ambition d’un enseignement de qualité et d’une plus grande égalité de réussite, ni d’une bonne administration du système éducatif.

Les organisations FSU, UNSA-Education, SGEN-CFDT dénoncent ces suppressions d’emplois dans un contexte d’augmentation démographique. La « priorité au primaire » ne peut pas se faire par un redéploiement de moyens.

Elles demandent au gouvernement de renoncer à ce projet.

Les organisations FSU, UNSA-Education, SGEN-CFDT appellent les personnels de l’Éducation nationale à une journée de grève le 12 novembre prochain.

Elles appellent toutes les organisations syndicales de l’Éducation nationale à rejoindre cette action.

Les Lilas, 25 septembre 2018.

B) Appel à la grève de la FSU dans l’Éducation Nationale le lundi 12 novembre 2018

Source : FSU 26 http://sd26.fsu.fr/TOUS-EN-GREVE-LE...

À l’initiative de la 1ère réunion des fédérations de l’Education, la FSU estime qu’il est nécessaire de faire front commun contre la politique menée par le Ministre Blanquer et le Gouvernement.

- Dans cette perspective, avec le SGEN, l’UNSA et le SNALC, elle dénonce les suppressions de postes et l’orientation générale du budget 2019 qui ne fait plus de l’Education une priorité.

- Au-delà de ces mesures comptables qui répondent aux objectifs macroniens de réduction de la dépense publique, la FSU-Drôme lit la volonté d’imposer une politique de rémunération au mérite, de renoncement éducatif et de démantèlement des Services Publics. Elle partage donc les revendications exprimées par la CGT, FO, SUD et le SNALC.

La FSU-Drôme appelle donc tous les personnels de l’Education Nationale à se mettre en grève et à participer à la manifestation départementale unitaire le lundi 12 novembre !

Pour la hausse des salaires et pensions,

Pour l’arrêt des suppressions de postes,

Pour l’arrêt de la précarisation et le développement du recrutement statutaire,

Pour l’abandon de la fusion des académies,

Pour l’arrêt de la territorialisation de l’Ecole,

Pour le retrait de Parcours Sup, de la réforme de la Voie Professionnelle, du Lycée et du Baccalauréat et du projet de loi "Ecole de la confiance",

Pour le retrait du projet de retraite à points et le maintien du Code des Pensions...

TOUS EN GRÈVE LUNDI 12 NOVEMBRE 2018 !

C) En grève le 12 novembre 2018 Appel UNSA

Un ministre sur tous les fronts, des annonces à foison, une réalité budgétaire bien triste pourtant. L’Éducation n’est plus la priorité du gouvernement.

Le verdict est tombé, loin des effets de manche, des postes sont supprimés dans les ministères qui prennent en charge la jeunesse :

- 1 800 postes dans l’Education nationale,

- 50 dans l’enseignement agricole (ce qui représente une suppression similaire à celle de l’Éducation Nationale),

- 1 600 envisagés, sur le quinquennat, dans le champ Jeunesse et Sport.

La coupe est franche et nette.

Même l’Enseignement Supérieur n’est pas préservé. L’augmentation de son budget est en trompe l’œil : les 500 millions d’euros seront insuffisants au regard des moyens nécessaires pour relever les défis auxquels nous sommes confrontés : accompagnement des étudiants, ouverture des places nécessaires, reconnaissance des personnels.

Dans l’Education nationale, le chiffre des suppressions de postes cache des situations différentes : - 2 450 postes dans le 2nd degré confronté à une hausse démographique, - 400 postes d’administratifs s’ajoutant à celles de l’an dernier et + 2 325 postes dans le 1er degré. Déshabiller l’un pour habiller quelque peu l’autre est donc la boussole qui pilote le ministère de l’Éducation Nationale

Ce budget marque symboliquement une rupture dans la politique gouvernementale. L’Education de la jeunesse n’est plus aujourd’hui la priorité.

Au même moment, le ministre dévoile un projet de loi pour lequel l’Unsa Education et l’ensemble de la communauté éducative a marqué sa forte opposition.

Face à ce budget, incompatible avec l’ambition d’un enseignement de qualité, l’UNSA Éducation, avec le Sgen Cfdt, le Snalc et la Fsu, appelle tous les personnels à une

Grève le 12 novembre 2018.

Ce sera l’occasion de montrer notre opposition aux choix budgétaires proposés et de demander au gouvernement un autre budget ;pour l’enseignement scolaire public et une politique éducative à l’écoute des personnels.

Des rassemblements et/ou manifestations seront organisés localement, pour en connaître les modalités pratiques, contactez l’UNSA Éducation ici : dans les régions et académies, dans les départements

D) Appel du SGEN CFDT

BUDGET 2019 : Le 12 novembre 2018, Mobilisons-nous !

Alors que le débat budgétaire s’ouvre au Parlement, les organisations syndicales FSU, SGEN-CFDT, SNALC, et UNSA Éducation appellent les personnels de l’Éducation nationale à se mettre en grève le 12 novembre pour protester contres les suppressions de postes annoncées pour 2019.

Le projet de budget 2019 ne traduit pas une politique éducative ambitieuse et marque la fin de la priorité accordée à l’Éducation nationale. Les suppressions de postes et non-créations, alors que les missions sont nombreuses et importantes, vont intensifier le travail des personnels et donc dégrader leurs conditions de travail. C’est pourquoi le Sgen-CFDT appelle tous les personnels à la grève et à la manifestation, ou à des rassemblements, le 12 novembre 2018. Il continue à interpeller les parlementaires…

E) Communiqué de Presse FSU, SGEN-CFDT, SNALC, UNSA Éducation

Alors que le débat budgétaire s’ouvre au parlement, les organisations syndicales FSU, SGEN-CFDT, SNALC, UNSA Éducation appellent les personnels à être en grève le 12 novembre contre le projet de budget 2019 pour l’enseignement scolaire.

Le gouvernement a prévu la diminution de 4 500 d’emplois de fonctionnaires d’état : 40% de cette baisse est supportée par la seule Éducation nationale.

Ces suppressions de poste sont décidées « en même temps » que le ministre présente son projet de loi pour l’école de la confiance. La fin de la priorité budgétaire conjuguée aux changements de pieds incessants de politique éducative, au mode de pilotage vertical et aux mises en cause des résultats de l’école sont vécus comme une absence de reconnaissance et une remise en cause de la professionnalité des personnels. Les actes et les mots ont du sens. Le ministre ne peut se prévaloir d’un objectif d’augmentation générale du niveau des élèves et de justice sociale, sans s’en donner les moyens.

Le projet de loi de finances 2019 marque ainsi la fin de la priorité accordée à l’Éducation nationale en renouant avec la logique de suppressions de postes, une logique appelée à s’amplifier dans les années suivantes pour atteindre les 50 000 suppressions annoncées de fonctionnaires de l’État.

Avec le redéploiement dans le primaire qui ne suffit pas au dédoublement CP et CE1 en éducation prioritaire dans le contexte d’un sous-investissement chronique, les 2650 suppressions de postes d’enseignants dans le second degré qui vont toucher les collèges et les voies générales, technologiques et professionnelles des lycées, et les 400 suppressions de postes de personnels administratifs après les 200 de l’an passé, les conditions d’apprentissage pour les élèves et de travail des personnels, se dégraderont dès la rentrée prochaine pendant que l’administration du système, pour les élèves et leurs familles, comme pour la gestion des personnels sera mise en grande difficulté.

Ce budget ne porte pas une politique éducative ambitieuse. Les organisations syndicales FSU, SGEN-CFDT, SNALC, UNSA Éducation appellent les personnels à exprimer leurs inquiétudes pour l’avenir de l’École comme leur exaspération.

Elles appellent l’ensemble des personnels à se mettre en grève et à participer aux manifestations et rassemblements prévus le 12 novembre pour demander au gouvernement un autre budget pour l’enseignement scolaire public et une politique éducative à l’écoute des personnels .

Ivry le 19 octobre 2018

F) Liste des manifestations :

001 Ain : Bourg-en-Bresse, 14h devant l’inspection académique rue de la paix

002 Aisne : Laon : 10h lycée Paul Claudel, Soissons :14h rond-point rue Alexandre Dumas, Saint-Quentin : 16h place Mulhouse

003 Allier : 14h30 devant l’inspection académique (Yzeure)

004 Alpes de Haute Provence : 10:30 à Digne devant l’Inspection Académique

005 Hautes Alpes : 10 h devant l’inspection académique

006 Alpes Maritimes : 10h place Massena Nice

007 Ardèche : PRIVAS DSDEN 10H30

008 Ardennes - 10h30 rassemblement devant la DSDEN (audience à 11h) puis manifestation en direction de la Préfecture (> 12h30)

009 Ariège : Inspection Académique à Foix, 10h30.

010 Aube - rassemblement à 15h devant la préfecture de Troyes, suivi d’une AG à 16h dans la salle du petit Louvre

011 Aude : 11h : DSDEN 67 rue Antoine Marty Carcassonne

012 Aveyron : Place d’Armes, RODEZ à 14h00

013 Bouches-du-Rhône : Marseille 10h sur le vieux port (près du Carrousel)

014 Calvados : Caen, Place du Théâtre à 10 H 30

015 Cantal : Aurillac 10h3 devant DSDEN place de la paix

016 Charentes : Angoulème 10h30 devant la cité administrative

017 Charente-Maritime - La Rochelle - Place de Verdun - 10h30, Saintes - Palais de Justice - 10h30

018 Cher : Bourges, Place Séraucourt à 10h30

019 Corrèze : Tulle 10h parvis de la cité administrative

021 Côte-d’or : Dijon 14h30 parvis du rectorat

022 Cotes d’Armor : 11 heures Saint-Brieuc

023 Creuse - Rassemblement devant la DSDEN23, Guéret - place Varillas à 10h30

024 Dordogne - Périgueux, Inspection Académique 10h30

025 Doubs : 10h30 à Besançon, place de la Révolution.

026 Drôme : VALENCE CHAMP DE MARS 14h 30

027 Eure : Evreux 14h DSDEN

028 Eure-et-Loir : Chartres 14h30 Place des halles

029 Finistère : 3 manif unitaires à BREST, QUIMPER, MORLAIX, 13h30

030 Gard - 14H30 Maison Carrée, Nîmes

031 Haute-Garonne : Toulouse 14h00 Arnaud Bernard

032 Gers : Auch 10h30 place de la Libération

033 Gironde : Bordeaux 13h30 place de Stalingrad

034 Hérault : 10h 30 Place du Peyrou Montpellier

035 Ille et Vilaine : Manifestation à Rennes : rassemblement 10h30 devant la Dsden35

036 Indre - 10h30- Place de la République à Châteauroux

037 Indre et Loire : TOURS place de la liberté 10H

038 Isère : Grenoble 14h30 place de Verdun

039 Jura : Dole 10H00 place Barberousse (Lycée professionnel Prévert) Lons le Saunier 14H30 ESPE"

040 Landes : 10H30 MONT DE MARSAN DEVANT LA DSDEN

041 Loir-et-Cher : Blois 14h préfecture

042 Loire : St-Etienne 10h bourse du travail

043 Haute Loire - 10 heures 30 devant les locaux de l’Inspection Académique de la Haute-Loire.

044 Nantes 10h à la préfecture ; St-Nazaire 10h place de l’Amérique latine

045 Loiret : 14h Orléans et Montargis

046 Lot : Cahors 10h30 place Miterrrand

047 Lot-et-Garonne : Agen 14h place de la préfecture

048 Lozère : 10h30 Place du Foirail à Mende

049 Maine et Loire : Angers 10h30 place du ralliement

050 Manche : Matin :Cherbourg Après-midi : St Lô

051 Marne : Reims 10h devant la maison des syndicats

052 Haute-Marne : Chaumont 17h devant l’inspection académique

053 Mayenne - Rassemblement 10h30 devant DSDEN à Laval

054 Meurthe et Moselle : 10h30 Place Maginot Nancy

055 Meuse : Bar-le-Duc 10h devant la cité administrative

056 Morbihan - 10h30 CIO LORIENT, trajet jusqu’à Sous-Préfecture, 10h30 La Rabine, trajet jusqu’à Inspection académique

057 Moselle : Metz 10h30 devant l’inspection académique

058 Nièvre : Préfecture à 11h

059 Nord : Lille, 14h30, Porte de Paris

060 OIse : Beauvais 10h DSDEN avenue Victor Hugo, Amiens 10h rectorat

061 Orne : Devant le Lycée Alain 10h30

062 Pas de Calais : Lille, 14h30, Porte de Paris. Calais, 9h30

063 Puy de Dôme - 10h Clermont-Ferrand au départ de la place Delille

064 Pyrénées Atlantique : rassemblement 10h30 Pau, place d’Espagne, devant la dsden - Bayonne, place Sainte Ursule

065 Hautes Pyrénées : 10h place de Verdun à Tarbes

066 Pyrénées Orientales : Perpignan 10h30 place de la victoire

067 Bas-Rhin : Strasbourg 14h place Kléber

068 Haut Rhin : 10h place de la Bourse à Mulhouse

069 Rhône : 10h place Guichard

070 Haute-Saone : Vesoul 10h place des fontaines

071 Saône et Loire : Chalon 14h30 maison des syndicats, Montceau 15h mairie, Macon 14h mairie

072 Sarthe : 10h30 Palais des Congrès Le Mans

073 Savoie : Chambéry 14h place du palais de justice

074 Haute Savoie : Annecy le 12 novembre 14h Préfecture

075 Paris - Manifestation parisienne 14h Luxembourg

076 Seine Maritime : 10 h30 Rouen, DSDEN, Place des faïenciers

077 Seine et Marne - Manifestation parisienne 14h Luxembourg

078 Yvelines - Manifestation parisienne 14h Luxembourg

079 Deux-Sèvres : Niort 11h devant l’inspection académique

080 Somme : Amiens devant le rectorat 14h

081 Tarn : 14 h 30 place du Vigan à ALBI

082 Tarn et Garonne - 13h30 devant lycée Bourdelle

083 Var : 10 h Place de la Liberté, Toulon.

084 Vaucluse : Avignon 10h cours Jean Jaurès

085 Vendée : La Roche sur Yon (Place Napoléon) à 10 heures

086 Vienne : Poitiers 14h rectorat

087 Haute Vienne - 10h00 Rectorat de Limoges

088 Vosges - Manif à 14h devant la préfecture

089 Yonne - Rassemblement devant l’IA à 14h00 et demande d’audience

090 Territoire de Belfort - maison du peuple salle 005 à Belfort 9h30

091 Essonne - Manifestation parisienne 14h Luxembourg

092 Hauts-de-Seine - Manifestation parisienne 14h Luxembourg

093 Seine-Saint-Denis - Manifestation parisienne 14h Luxembourg

094 Val de Marne - Manifestation parisienne 14h Luxembourg

095 Val d’0ise : 14h Paris Luxembourg vers le ministère

971 Guadeloupe : 9h devant le rectorat

972 Martinique : Fort-de-France 8h30 devant le rectorat

973 Guyane : Cayenne 9h devant la préfecture, St-Laurent 9h devant la sous-préfecture

974 Réunion : Rectorat 9h

976 Mayotte : 9h devant le rectorat


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