« Nous, on fait de la politique, on dit clairement que notre programme va coûter de l’argent. Je vous invite d’ailleurs à gauche à vous méfier de ceux qui proposent des programmes qui ne coûtent rien. La question est de savoir qui va payer : en l’espace de vingt ans, tous les indicateurs économiques le montrent, nous avons perdu dix points dans la répartition des richesses entre la part qui va vers le capital et la part qui va vers le travail. Ce pays est riche, mais il faut revenir à une chose : le partage ! Quand on est de gauche, on est un partageux ! »

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