mercredi 1er juillet 2009
par François Cocq , Secrétaire national à la politique territoriale et à l’éducation
En douce, tel un voleur qui s’éclipserait après son larcin, Xavier Darcos prend la peine, au moment même où il est débarqué du ministère de l’Education Nationale, d’annoncer la suppression de 16 000 postes pour la rentrée 2010. La manœuvre manque de dignité et de courage. Elle s’apparente plus à une mesquine vengeance envers l’institution qui a refusé de le suivre dans la dérive libérale et marchande dans laquelle il entendait l’entraîner. S’il (...)