Avec le décès du président gabonais Omar Bongo, la France perd un allié privilégié, qui a longtemps financé les partis politiques de tout bord.
La France a perdu lundi l’un des meilleurs analystes de sa vie politique. El Hadj Omar Bongo Ondimba, dont la mort a été confirmée par le Premier ministre gabonais, connaissait mieux que personne les us et coutumes de la Ve République. Sa face lumineuse -celle des alliances et des grands rendez-vous électoraux- et sa face sombre -celle du (...)