Ce qu’il y a de bien avec les marchés financiers, moralisés ou non, c’est qu’ils ne déçoivent jamais.
Mais alors : jamais !
Et c’est un véritable enchantement pour l’observateur critique de vérifier - puisque le constat n’a rien de neuf - combien la pseudo-rationalité des opérateurs des marchés n’est rien d’autre qu’une réactivité crétine et dénuée de tout scrupule, le plus souvent absurde et quelquefois ridiculement macabre.
Ainsi de (...)