mercredi 22 avril 2009
par François Delapierre, secrétaire national du Parti de Gauche
Cette semaine nous avons vu débouler sur nos écrans un feuilleton particulièrement grotesque. Tout ce que le pays compte de bonnes gens et d’âmes sensibles a été invité à s’apitoyer sur le calvaire des patrons victimes de la toute-puissance et de la violence ouvrières. La grosse ficelle (le cable ?) court depuis plusieurs mois maintenant. En toute occasion, criminaliser le mouvement social. Les médias parlent ainsi de « séquestration » à propos de patrons retenus une paire (...)