C’est ce pouvoir répressif dans tous les sens du terme, que nous récusons dans sa forme actuelle et dans toute autre forme aménagée. Les travailleurs veulent le remplacer par un pouvoir qui les représente véritablement et démocratiquement, c’est-à-dire par l’instauration de l’autogestion, aussi bien au niveau de l’entreprise et des services publics qu’à l’échelle nationale.