Dès sa création le Parti de Gauche a appelé au Front de gauche pour les Européennes. On nous avait prédit un échec sur toute la ligne. On nous annonçait que le PC serait incapable de s’ouvrir dans un cadre d’égalité avec d’autres. On nous assurait que le NPA refuserait notre offre sans même en débattre. On nous promettait que la création du PG serait vécue comme une concurrence de plus et contribuerait à l’éparpillement de l’autre gauche. Ce n’est pas ce (...)