Plus nous avançons dans la crise, plus nous allons vers une sorte de chaos d’information et donc d’impuissance de la pensée. Car tout ce qui se raconte semble sans fondement chiffré, ou du moins avec des chiffres incomplets. Ce qui se comprend puisque, les chiffres, nous ne les connaissons pas. L’interconnexion des circuits de la finance fait que tout est envisageable. On dit que la finance est déconnectée de l’économie réelle. Par extrapolation, on devrait aussi (...)