Lorsque j’étais adolescent dans les années 1960, le nom d’Hugo Blanco résonnait déjà parmi les noms symbolisant à l’échelle de la planète la lutte des opprimés contre les bien placés socialement, bien nourris, bien chauffés, bien habillés, bien insensibles à la misère des autres.
Syndicaliste paysan péruvien, Hugo Blanco était partie prenante :
* des aspirations latino-américaines contre les oligarchies conservatrices, les militaires assassins et les multinationales (...)