Marat était en relations continues avec la Commune ; il en fut, en ces journées ardentes d’août 1792, l’inspirateur et le journaliste. Lui, si sombre d’habitude et si défiant, il éclate de joie et d’orgueil dans ses numéros du 15 et du 16 août, et il trace le programme d’action de la Commune en homme sûr d’être écouté.