Sous couvert de resserrer les règles autorisant les salariés à travailler plus de 48 heures par semaine, les États membres de l’Union européenne, à cause notamment du changement d’attitude de la France avec l’arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy, viennent de porter un nouveau coup à l’encadrement de la durée du travail dans l’Union. Attac condamne cet accord, qui constituerait une grave régression si le Parlement européen l’entérinait.
La directive (...)