Le bilan de la gauche italienne est catastrophique. On nous la présentait comme "en avance sur nous". J’ai encore souvenir au congrès du Mans du PS, en novembre 2005, d’avoir été privé de parole devant une salle pleine tout juste pour laisser 3/4 d’heure à Romani Prodi. Il nous avait raconté toutes ses salades centristoïdes. Ça collait avec la défunte synthèse.
Et ensuite, la gauche italienne a voulu poursuivre la guerre en Afghanistan, et conduire une politique de (...)