Cela fait maintenant des mois que les millionnaires de Wall Street se lamentent sur les pertes occasionnées par leurs investissements ridiculement surévalués. Pourtant, ces mêmes fans du libre-échange n’ont pas la moindre idée de l’ampleur de la crise à laquelle sont confrontées les véritables victimes du krach boursier, qu’ils ont créé avec tant d’enthousiasme.
Pour les trois milliards de personnes qui survivent avec moins de deux dollars par jour [1,27 €], (...)