Sans doute très occupée par la Coupe du monde de football, la presse a peu commenté le discours de Nicolas Sarkozy, prononcé à Agen, le 22 juin dernier. Pourtant, il s’agit d’un virage à cent quatre vingt degrés (dans les mots) entre les propos habituellement tenus par le ministre de l’Intérieur, qui ne cache pas sa fascination pour le modèle anglo-saxon, et ses envolées d’un soir.
Rien d’étonnant, pourtant, c’est la même équipe, maintenant, qui rédige (...)