Jean-Michel Muglioni examine la question rhétorique lancée naguère par Laurence Parisot : la vie la santé, l’amour sont précaires, pourquoi le travail échapperait-il à cette loi ? (1) Il s’agit en réalité d’une maxime. Elle dit l’abolition de la loi, qui réduit la précarité, au profit d’une prétendue "nature" pour le plus grand bénéfice de quelques-uns. Elle révèle aussi, à travers une étrange vision de la santé, de l’amour et du travail qui érige (...)