Cela a commencé par une tribune publiée par Jean-Pierre Raffarin : "Tony Blair-UMP, même combat" (Le Monde, 11 janvier). Le lendemain, l’ex-Premier ministre britannique a été reçu par Nicolas Sarkozy au Conseil national de l’UMP. Après avoir apporté un soutien appuyé à son hôte, le néotravailliste a confié avec ironie que s’il était Français, il serait "probablement au gouvernement" de François Fillon.
Cette empathie mutuelle a choqué des dirigeants socialistes. Le jour (...)