L’essence du sport n’est pas dans le combat ni la guerre avec des règles déposées à Genève (ou en l’occurrence à la FIFA). Il ne saurait être réduit à la seule compétition. Et celle-ci n’est d’ailleurs pas uniquement située entre les compétiteurs. Loin s’en faut.
Le sport est d’abord et avant tout une manière d’être avec les autres et, surtout, avec soi-même. C’est un prolongement jusque dans l’âge adulte de l’apprentissage (...)