Mon cher Bernard,
Pour moi, tu es d’abord un ami, un homme de haute estime qui, dans tes actes, a contribué à changer la face de ce triste monde.
Pour nous tous, tu as inventé la théorie du droit d’ingérence d’abord médical et humanitaire, puis politique et judiciaire, cette ingérence qui fait céder la dictature devant l’impératif humain.
Tu n’étais pas un homme de parti ; tu te voulais en marge, un franc-tireur, c’est pour cela qu’au côté des (...)