L’on peut raisonnablement se demander ce qui pousse de jeunes gens d’à peine vingt ans – les femmes étant aussi concernées que les hommes – à se noircir l’épiderme d’encre indélébile, au-delà d’un inquiétant mimétisme encouragé par des artistes et sportifs surmédiatisés. Pourquoi un tel besoin de marquage ?