En 2022, un rapport de l’Office européen de lutte antifraude (OLAF) détaille les violations systémiques des droits humains et leur dissimulation aux frontières de l’UE par Frontex. Le rapport parle de « faute grave ». Les hauts responsables de Frontex ont non seulement ignoré les indications de violations des droits humains, mais ils ont également été complices.