« L’équipe a décrit le service des urgences comme un bain de sang, avec des centaines de patients blessés à l’intérieur et de nouveaux patients arrivant chaque minute », raconte l’OMS, ajoutant que « les patients souffrant de traumatismes étaient suturés à même le sol et que les moyens pour gérer la douleur sont très limités voire inexistants ».