Macron dédaigne la représentation nationale en se servant sans vergogne des outils que lui offre la Constitution de la Vème république. La chienlit parlementaire, c’est lui. L’article 49-3 servi à toutes les sauces budgétaires, et au-delà, c’est lui ; l’article 47-1 qui permet de raccourcir encore plus le débat c’est encore lui qui l’utilise, même au risque d’articles qui seront peut-être jugés anticonstitutionnels.