Les actes de vandalisme perpétrés par le mouvement fasciste au Brésil le dimanche 8 janvier, démontrent, encore une fois, que « le choix de la guerre civile » est toujours le recours utilisé par le néolibéralisme lorsque les citoyens s’organisent, victorieusement ou non, pour donner priorité aux pauvres et à la pensée. En quoi les événements brésiliens éclairent ce que nous vivons en France ?