La détérioration de la biodiversité, en interaction avec la crise climatique, implique de changer leur cause ultime commune.
par Sandra Lavorel, Écologue, directrice de recherche CNRS au Laboratoire d’écologie alpine (Grenoble), membre de l’Académie des sciences. Spécialiste des effets interactifs du changement climatique et des usages des sols sur la biodiversité et les écosystèmes, elle contribue aux travaux de l’Ipbes, l’équivalent du Giec pour la biodiversité.