Interrogé sur la condamnation récente de 4 syndicalistes guyanais à 18 mois de prison ferme, le candidat à l’élection présidentielle a appelé à leur libération immédiate. Il a dénoncé le manque de volonté de dialogue de la part des pouvoirs publics et a plaidé pour l’apaisement plutôt que la logique de confrontation.