Le rapport du GIEC invite à mettre enfin en œuvre, de toute urgence, ce qui ne devrait plus être qualifié de « transition », mais de « basculement » énergétique. Mais cela a un coût. L’argent existe, il faut aller le chercher où il est : dans les comptes des multimillionnaires camouflés dans les paradis fiscaux et ceux des multinationales qui, depuis des décennies, ne payent pas leur juste part d’impôt.