À 2h du matin, un jeune homme de 22 ans, ramasse un projectile venu des rangs de la gendarmerie. Sa main est arrachée. Prévenus, les pompiers ne peuvent pas accéder au site afin de prodiguer au jeune homme, à ce moment en état d’urgence absolu, les premiers soins. Les gendarmes, par ordre de la préfecture, les en empêchent, prétendant ne pouvoir assurer leur sécurité. « J’ai honte d’être pompier. Un jeune risquait de mourir. Nous le savions. Mais nous ne pouvions pas intervenir ».