« Il ne faut rien céder à la violence. » Depuis la gifle, Emmanuel Macron le répète. Sans s’interroger, jamais, sur sa part à lui, dans cette histoire. Lui qui, durant un hiver en jaune, a tenu par la force. Et à quel moment le président a-t-il présenté ses regrets aux manifestants, aux passants, revenus d’un samedi avec un œil en moins, un bras amputé, la vie brisée ?